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Un consortium d'organisations de Tunisie, du Soudan, de Palestine, d'Irak, d'Italie et du Canada ont mis en place à Tunis un centre de formation et de soutien régional en matière de sécurité numérique pour les défenseurs des droits humains et les organisations de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord). Photo : AlternativesUn consortium d’organisations de Tunisie, du Soudan, de Palestine, d’Irak, d’Italie et du Canada ont mis en place à Tunis un centre de formation et de soutien régional en matière de sécurité numérique pour les défenseurs des droits humains et les organisations de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord). Photo : AlternativesAu cours de sa première année, le centre de formation en sécurité numérique DSS 216 a formé une multitude de défenseurs des droits humains, notamment des femmes défenseures des droits humains, des journalistes, des avocats, des médias, des groupes de la société civile et des groupes vulnérables, à éviter la censure en ligne et améliorer la sécurité de leurs communications numériques. Si la formation concernait en priorité les défenseurs des droits humains en Irak, en Palestine, au Soudan, en Tunisie et en Syrie, le centre a également formé des défenseurs égyptiens et pour sa prochaine étape, des journalistes et activistes des médias d’Algérie et du Maroc seront également invités.

Outre les formations en sécurité numérique, le projet tente de mieux faire comprendre les liens entre la démocratie et les libertés de l’internet. Grâce à son mécanisme de petites subventions, DSS 216 a versé plusieurs subventions aux défenseurs des droits humains des différents pays visés pour des situations d’urgence numérique et des propositions d’instruments de préparation.

Le consortium est formé des organisations suivantes : Alternatives (la principale organisation) du Canada, Aalag Press Services (Soudan), National Association for Defence of the Rights of People (NADRP) d’Irak, Iraqi Civil Society Solidarity Initiative (ICSSI/Un Ponte Per) d’Italie, Teacher Creativity Center (Palestine) et l’Association pour le progrès des communications (APC).

(Extrait de notre Rapport annuel Report 2014, traduit en français)